Il est effectivement le centre énergétique de la survie.
C’est en lui que réside le désir premier qui est de rester en vie et la peur première qui est celle de mourir.
C’est donc lui qui détermine notre réponse face au danger par la fuite ou la lutte.
Il est responsable de la satisfaction de nos besoins primaires de base comme se nourrir, s’hydrater, dormir ou se reproduire. Il stimule aussi nos besoins de sécurité comme de disposer d’un foyer où l’on peut se sentir en sécurité et se détendre.
Aujourd’hui, on pourrait compléter avec nos besoins de sécurité financière, de possessions matérielles, de se vêtir et de sexualité autre que la procréation. Ce chakra est en lien avec la matière, le monde physique et notre attachement à la matière.
Lorsque nos besoins primaires ne sont pas satisfaits, nos glandes surrénales sont sur-sollicitées pour assurer nos défenses internes et fournir un maximum d’énergie afin de survivre. Si la situation ne s’arrange pas, cela peut finir par épuiser notre chakra (et nous par la même occasion).
Ce chakra est le premier à se développer dans notre vie et c’est lui qui génère nos premières émotions. Il reflète alors plus tard nos croyances (peurs) et notre éducation (satisfaction de nos besoins).
Ce chakra joue également un rôle au niveau de notre intégration sociale et de notre conscience collective. Il motive notre propre survie mais également celle de l’espèce. Pour cela, il stimule notre besoin d’appartenance à une famille (une tribu) qui apporte la sécurité de la vie en groupe. C’est lui qui intime ce sentiment d’appartenir à une famille (la nôtre et celle de l’humanité).